QUI SOMMES-NOUS ?

Qui sommes-nous?

SHAMA est un collectif de bénévoles français venant en aide aux enfants défavorisés d'Indonésie. Shama est jumelé à l'association indonésienne TANAH OMBAK à Padang.

Missions

Depuis 2018, les bénévoles de SHAMA se donnent pour mission de "venir en aide aux enfants les plus défavorisés, en soutenant leur éducation, en améliorant leurs conditions de vie et en encourageant leur autonomie et leur épanouissement personnel." Pour notre projet, nous avons choisi l’île de Sumatra, une région recouverte d'une jungle luxuriante, fragilisée par le tsunami de 2004.

Historique

SHAMA a une longue histoire.

- En 2018 nait l'association KOLIBRI, de la rencontre entre Julie Ewa, éducatrice spécialisée en France, et un groupe d’Indonésiens souhaitant venir en aide aux enfants de la rue. L'équipe de Kolibri se constitue en mars 2018 et un premier partenariat est mis en place avec la maison pour enfants Tanah Ombak dans un quartier défavorisé de Padang.

- En 2019, la maison Kolibri ouvre ses portes à Bukit Lawang, un village dans la jungle. Pendant 4 ans, la maison Kolibri propose des activités aux enfants. En mars 2023, l'équipe de Kolibri Bukit Lawang choisit de poursuivre ses activités de manière indépendante.

- L'association KOLIBRI change de nom en 2023 et devient l'association SHAMA. Elle continue de travailler étroitement avec l'association TANAH OMBAK de Padang.

- En septembre 2024, l'association française SHAMA est dissoute afin de fusionner avec sa consœur, l'association indonésienne TANAH OMBAK. Les bénévoles de SHAMA poursuivent leurs actions directement en Indonésie.

Quelques repères

L’Indonésie est un immense archipel situé en Asie du Sud-Est qui compte plus de 200 millions d’habitants. Aujourd'hui, on estime à environ 10% le taux de personnes vivant en dessous du seuil international de pauvreté (1,90 dollar É.-U. par jour). Selon l'Unicef, plus de 42% des enfants cessent de fréquenter l'école à la fin du cycle primaire et 6,9 % d'entre eux sont contraints de travailler pour répondre aux besoins de leur famille. Enfin un nombre plus restreint d’enfants, orphelins ou non, sont sans domicile fixe.